C’est le parti lui-même qui a informé le journal de la situation. « Avenir Hilairemontais dénonce ce geste antidémocratique. Nous trouvons déplorable que des gens agissent de cette façon. Nous sollicitons les personnes ayant été témoin de ce geste de bien nous aviser », a commenté l’agente officielle de la formation politique, Josée Leduc.
Ces gestes ont été rapportés le lendemain de la publication d’un article dans L’Œil Régional, résumant brièvement l’étendue des échanges textos survenus entre le maire et le promoteur du projet avorté de la rue Saint-Georges.
Une plainte formelle a été déposée rapidement à la Régie intermunicipale de police Richelieu–Saint-Laurent. Cette dernière n’avait toutefois aucun détail supplémentaire à donner au moment de mettre sous presse.
Avenir Hilairemontais a aussi avisé le Directeur général des élections du Québec (DGEQ). Les dépenses de remplacement de pancarte ne sont pas comptabilisées dans le rapport des dépenses électorales si le méfait est documenté au DGEQ.
Un autre parti victime
Le parti Transition MSH de Marc-André Guertin avance aussi avoir été victime dernièrement de vandalisme. Selon M. Guertin, des affiches ont été tamponnées par un camion à deux reprises. « Des grandes et petites affiches ont aussi été arrachées. Il faut dire que le vent s’est aussi mêlé de la partie et nous avons dû repasser pour solidifier nos affiches. Nous souhaitons promouvoir un débat d’idées constructif et non des actes répréhensibles. »