« Nos abeilles sont malmenées, alors il est temps d’adhérer [à ce] programme », a affirmé le conseiller Martin Dubreuil, lui-même apiculteur, en présentant cette résolution pendant la séance publique de septembre. Selon la résolution, une ville amie des abeilles « peut mettre en valeur des initiatives déjà en place et engager davantage les communautés locales à faire preuve de créativité et d’innovation dans le but de promouvoir une vie plus saine au sein de la communauté ». Les engagements précis auxquels Belœil devra se plier seront dévoilés une fois que sa demande sera acceptée. O.D.