« Il n’y a plus de choix à faire entre l’économie et l’environnement. Ça doit aller ensemble. Le Québec a toujours été très très fier, à l’avant-plan au niveau de l’environnement. On peut démontrer aujourd’hui que ce n’est pas juste une question morale, éthique ou environnementale, mais c’est aussi une question de jobs, d’innovation, de croissance économique. On est en train de bâtir un avenir meilleur, pas juste pour nous ici, mais pour le monde entier. On est là pour bâtir l’avenir. »
Justin Trudeau, premier ministre du Canada
« Plus que fier, je suis ému. Si je fais de la politique, c’est pour des journées comme aujourd’hui. Une annonce historique. On annonce une usine de 7 milliards, le plus grand investissement manufacturier de l’histoire du Québec. Le Québec devient un joueur international de la filière batterie et du transport électrique. Quand Robert Bourassa a annoncé la baie James, c’était la même chose. On disait que c’était trop d’argent, de la folie. Mais on s’est rendu compte que c’était un coup de génie. »
François Legault, premier ministre du Québec
« Merci de nous accueillir au Québec. On a choisi le Canada, Northvolt a choisi le Québec. Mais je souhaiterais ajouter que le Canada a tout autant choisi Northvolt pour les valeurs qu’elle représente. »
Paolo Cerruti, cofondateur de Northvolt
« Enfin. J’avais hâte de faire cette annonce. Elle va marquer selon moi l’histoire économique du Québec. Une étape majeure qu’on franchit dans le développement de la filière batterie. Le Québec va rejoindre un groupe très sélect de nations hautement industrialisées qui ont annoncé des giga-usines de batteries pour des véhicules électriques. »
Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie
« Le mot qui me vient en tête, c’est fierté. Quel moment pour le Québec et le Canada. On est en train de bâtir le Québec de demain […] On a de quoi être fier. C’est une excellente nouvelle pour des milliers de travailleurs. Ce n’est pas seulement de l’usine de Northvolt dont on parle; c’est tout un écosystème qu’on bâtit. »
François-Philippe Champagne, ministre fédéral de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie
« Les contribuables n’ont pas 3 milliards de dollars à donner à une multinationale. Cet argent pourrait être utilisé pour rénover ou reconstruire plus d’une douzaine d’écoles vétustes au Québec ou pour réduire les impôts des Québécois en difficulté. »
Nicolas Gagnon, directeur Québec de la Fédération des consommateurs du Canada
« Ce projet a le potentiel de métamorphoser l’économie de la Vallée-du-Richelieu, avec ses retombées économiques importantes et les emplois de qualité qui seront créés. Notre communauté d’affaires restera vigilante pour s’assurer que toutes les conditions nécessaires au succès de cette initiative seront réunies. Ensemble, on bâtit le Québec de l’avenir. »
Julie La Rochelle, présidente-directrice générale de la Chambre de commerce et d’industrie Vallée-du-Richelieu
« Je salue l’annonce de l’installation de l’usine de Northvolt au cœur de la circonscription que je représente. Elle permet au Québec d’affirmer sa position de meneur dans l’électrification des transports, une signature québécoise. Elle pourrait être de nature à développer dans la Vallée-du-Richelieu toute une chaîne d’approvisionnement innovante et à forte valeur ajoutée. »
Yves-François Blanchet, député de Belœil–Chambly et chef du Bloc québécois
« Comme à chaque annonce de subventions, le gouvernement omet de parler du coût d’opportunité de ses dépenses. En laissant cet argent dans les poches des contribuables – au lieu de l’envoyer à la Suédoise Northvolt –, l’économie du Québec s’en serait trouvée autrement stimulée. »
Emmanuelle B. Faubert, économiste à l’Institut économique de Montréal
Foire d’information:
Les citoyens de la région sont conviés à trois rencontres sous la forme de foires avec kiosques d’information organisées par l’entreprise à compter de cette semaine.
Mercredi 4 octobre, de 17 h à 20 h : À l’École d’éducation internationale de McMasterville (720, rue Morin)
Jeudi 5 octobre, de 17 h à 20 h : Au Centre civique Bernard-Gagnon de Saint-Basile le-Grand (6, rue Bella-Vista)
Samedi 14 octobre, de 9 h à 13 h : À l’École d’éducation internationale de McMasterville (720, rue Morin)