Une situation qu’a tolérée leur employeur en 2013-2014.
«Certains allaient chez eux « gamer », certains allaient chez eux se baigner dans le spa. D’autres allaient faire ce qu’ils voulaient. Ils ne répondaient pas à des appels. Ça a duré pendant deux ans», a dénoncé un collègue sous le couvert de l’anonymat.
«Disons que c’était une prestation de travail un peu réduite. […] On a pris le problème, on veut le gérer sérieusement et on est tous conscients que c’est l’argent de nos contribuables», a commenté la présidente de la Régie intermunicipale de police Richelieu Saint-Laurent, Suzanne Dansereau.