« Cela fait plusieurs mois qu’on travaille à l’organisation de ces journées. On avait envie de montrer aux gens l’accessibilité des ressources par rapport au bien-être, autant mental que physique, psychologique ou spirituel », affirme la propriétaire de Consultation Bien-Être, Audrey Gilker. Pour l’occasion, on reçoit une vingtaine de professionnels et de kiosques touchant au vaste domaine du bien-être : massothérapeutes, auteurs, médiums et voyantes, énergéticiens, hypnothérapeutes, thérapeutes en relation d’aide, coachs en programmation neuro- linguistique, etc. « Le but avec ces journées, c’est qu’il vaut mieux prévenir que guérir et donc montrer les différentes ressources qui existent dans la région », ajoute-t-elle.
Cet événement s’adresse aussi aux familles avec des ressources dédiées aux parents, aux adolescents, aux aînés ou encore aux enfants avec de l’aide scolaire par exemple. « Sur place, il y aura une offre alimentaire, des jeux gonflables et plein de belles surprises. On veut que ce soit des journées festives pour tout le monde! », confirme Mme Gilker, qui espère voir un achalandage d’environ 500 personnes pendant cette fin de semaine, dont plusieurs visiteurs qui pourront découvrir la jeune entreprise Consultation Bien-Être, dans le paysage belœillois depuis deux ans à peine. Selon le succès de ces premières Journées bien-être, l’activité pourrait devenir récurrente.
Les Journées bien-être doivent avoir lieu les samedi et dimanche 26 et 27 août, de 10 h à 20 h dans le stationnement de Consultation Bien-Être, au 101, rue Saint-Jean-Baptiste, à Belœil. En cas de pluie, l’événement sera toutefois reporté à la fin de semaine suivante.
Nouvelle identité
Si le nom de Consultation Bien-Être n’est pas encore familier, c’est normal puisqu’il s’agit du nouveau nom de l’entreprise Consultons local, elle-même seulement fondée en 2021. Ce changement d’identité s’explique par la confusion entourant la mission de l’entreprise. « Des gens pensaient qu’on référait seulement à des entreprises locales à Belœil alors qu’on ratisse beaucoup plus large et ils ne savaient pas qu’on s’occupe du bien-être au sens large, note Audrey Gilker. Le nouveau nom, en vigueur depuis le 1er août seulement, correspond mieux à notre mission. »