Ces manœuvres servent à perfectionner les compétences des observateurs aériens. Ces formations sont essentielles aux policiers, qui effectuent régulièrement des patrouilles aériennes le long de la frontière canado-américaine, afin de prévenir et de détecter la criminalité transfrontalière.
À titre d’information : les appareils évoluent à une altitude de 2500 pieds, au-dessus du minimum exigé par Transport Canada (1000 pieds au-dessus des zones habitées).
Ces vols peuvent occasionner un certain inconfort sonore, mais il n’y a aucun danger ni aucune situation préoccupante pour la sécurité des citoyens, ont fait savoir les autorités.
Plusieurs internautes ont exprimé leur mécontentement face au bruit et au manque de communication. Ce sont les villes de Beloeil et de Chambly qui ont publié des explications sur leurs pages Facebook respectives, le matin du 8 mai, soit après une nuit marquée par des survols bruyants dans les deux secteurs. Aucun avis n’avait été diffusé sur la page Facebook officielle de la GRC. V.G.