«Ça parle du crime organisé et de la quête de rédemption d’un tueur à gages. Mais on sort du cliché du tueur froid, sans émotion», explique Martin Chaput, qui admet s’être inspiré de certains faits vécus remontant à l’époque où il était portier dans des bars plus ou moins fréquentables. Le début de l’écriture de La quête remonte justement à 1999, une période difficile dans la vie de Martin Chaput, qui a par la suite retravaillé son manuscrit une quinzaine d’années plus tard. Son roman a officiellement été lancé le 22 octobre.
«Le livre se passe dans les années 90, et le personnage principal, au seuil de la folie, s’imagine les fantômes de personnages historiques», explique l’auteur, qui se dit incapable de ne pas inclure au moins une dose d’histoire dans ses récits. Son premier roman relatait quant à lui l’histoire d’un soldat oublié lors de la Seconde Guerre mondiale et d’autres projets d’écriture, toujours en lien avec l’histoire, sont en cours. «J’essaie de vivre de mes passions», résume simplement celui qui s’est dit particulièrement inspiré par un voyage en Égypte, qui influencera d’ailleurs son prochain livre.
Martin Chaput sera prochainement au Salon du livre de Montréal. Il sera possible de le rencontrer le jeudi 16 novembre de 18h à 21h et le dimanche 19 novembre de 9h à 14h.
8 novembre 2017 - 15:18
Deuxième roman pour Martin Chaput
La rédemption d’un tueur à gages
La quête: journal de guerre d'un soldat de fortune a été écrit de façon «chaotique», à la manière d'un journal personnel, selon l'auteur Martin Chaput. Photo François Larivière
Le Belœillois Martin Chaput n’a rien du profil type de l’historien et auteur, et pourtant, le voilà qui vient de lancer son deuxième livre, le roman La quête: journal de guerre d’un soldat de fortune paru cet automne aux éditions La Plume d’or.
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