Arrivé seul au Québec à l’adolescence en tant qu’étudiant international originaire de l’Île Maurice, il incarne une trajectoire de persévérance, d’adaptation et d’engagement. Ce sont ces valeurs qui l’ont toujours guidé et qui le poussent aujourd’hui à redonner à la communauté qui l’a accueilli, affirme-t-il.

Fort d’une expérience auprès de plusieurs ministres fédéraux, il a appris à naviguer dans les rouages du gouvernement et à faire progresser des dossiers complexes. Questionné sur sa volonté de se présenter dans la région, il affirme que « les gens de Pierre-Boucher–Les Patriotes–Verchères méritent une voix forte qui peut livrer des résultats concrets. Être en mesure de faire avancer nos priorités en travaillant avec le gouvernement est un atout majeur pour notre région », soutient de Casanove.

Pour lui, un député dans l’opposition est limité dans sa capacité d’agir, surtout face aux enjeux cruciaux comme les tarifs américains qui touchent durement les producteurs et les entreprises locales. « Avec un député du gouvernement, on peut agir concrètement. Rester dans l’opposition, c’est accepter de subir sans pouvoir changer les choses. Moi, je veux livrer », résume-t-il.

Laurent de Casanove promet de rester accessible et à l’écoute s’il est élu, déterminé à défendre les intérêts de la circonscription à Ottawa.

Les autres partis

Pour le Parti vert du Canada, le nom de Sean Michael Thompson est inscrit sur le site Web du parti, alors que pour le Parti conservateur du Canada, on y lit le nom de Vincent Kunda. Sur le site d’Élections Canada, on peut aussi apercevoir le nom de Jean-François Filion comme candidat du Nouveau Parti démocratique (NPD). Or, aucune information, ni photo n’était disponible pour les trois candidats avant d’aller sous presse. Pour le Parti populaire du Canada (PPC), on retrouve Alexandre Blais, pour qui il s’agit d’une autre tentative dans Pierre-Boucher–Les Patriotes–Verchères, lui qui a été candidat pour le PPC en 2021.