En visitant un musée de Québec, elle fait une découverte troublante. Son ancêtre Nicolas Patesnotre est décédé le même jour du même mois et au même âge que son père. C’est l’élément déclencheur à l’origine de son roman La douceur du lin.
Elle a suivi alors des cours de généalogie, s’est inscrite aux ateliers d’écriture de l’Université de Sherbrooke à Belœil, puis elle a suivi des cours de rédaction littéraire au Cégep de Saint-Hyacinthe et participé à des ateliers plus spécifiques au Centre de formation en écriture Mini-Géni. En 2008, elle devient finaliste pour le prix littéraire Pauline-Gill grâce à un texte qui fait partie intégrante de ce roman.
Fascinée par les débuts de la Nouvelle-France, elle souhaitait mettre en lumière l’apport des gens ordinaires qui ont façonné le pays et les liens de cohabitation avec les Premières Nations.
Lors de son passage au Cercle, elle parlera de ses recherches sur la vie en Nouvelle-France au XVIIe siècle, des lieux historiques et des liens entre les contemporains de Nicolas Patenostre, qui pourraient être vos propres ancêtres. Elle nous dévoilera aussi ses projets en cours.
À ne pas manquer, le 19 avril à 19 h 30 à la résidence Le Quartier, située au 330, boul. Honorius-Charbonneau à Mont-Saint-Hilaire.