Le Club veut qualifier des athlètes pour les Jeux du Canada de 2025 qui se tiendront du 8 au 25 août à Saint John’s sur l’île de Terre-Neuve. « Nous sommes bien confiants d’avoir des pagayeurs à cette compétition. Les qualifications auront lieu prochainement et nous avons hâte de voir les athlètes à l’œuvre », commente le directeur général du Club, Antoine Laliberté.
Le Club entend aussi envoyer une forte délégation d’athlètes aux championnats canadiens qui auront lieu à Regina en Saskatchewan, tout juste après les Jeux du Canada, soit du 25 au 30 août. L’an dernier, le Club avait terminé au 13e rang sur 42 clubs au cumulatif. Il avait du coup égalé le sommet que l’organisation avait atteint une seule autre fois en 2006. « Nous voulons améliorer encore notre rang et envoyer une quarantaine d’athlètes. L’an dernier, nous avions 45 jeunes et toutes nos embarcations avaient participé à des finales », renchérit Laliberté.
À l’instar des années précédentes, une quinzaine de jeunes du Club ont eu l’occasion de s’entrainer en Floride cet hiver pour poursuivre leur entrainement. L’expérience s’est bien déroulée, mais l’organisation est prête à trouver un plan B si jamais la relation tendue entre les États-Unis et le Canada l’oblige. « Sur le terrain, ça s’est bien passé. Ça fait tellement longtemps que nous allons à cet endroit, donc les gens sont habitués à notre présence. Évidemment, si nous devons trouver d’autres options, la Colombie-Britannique s’avère intéressante. Il fait plus froid qu’en Floride, mais l’eau des cours d’eau n’est pas gelée.
Dans un autre ordre d’idée, le Club de canotage tiendra sa traditionnelle journée communautaire du 14 juin, qui sera marquée par la course des élus. Puis, le 20 septembre, ce sera la quatrième édition de la Descente du Richelieu qui amène les participants à pagayer 12 km à partir de Chambly jusqu’à la Pointe-Valaine, à Otterburn Park.
Saturé
Le Club de canotage devrait compter cette année 600 membres, chiffre qui n’inclut même pas les milliers d’élèves du secteur scolaire qui essaient ce sport dans le cadre de leur parcours académique. Selon Antoine Laliberté, le Club approche sa pleine capacité en termes de membership. « Nous voulons avoir des services de qualité et permettre que le plus de gens essaient un canot. Nous évaluons sérieusement la possibilité d’avoir un autre point de service à un certain moment. »