Le sergent Jean-Luc Tremblay, de la Régie, affirme que seulement un certain nombre de policiers ont été formés pour utiliser l’arme à impulsion électrique (AIE). Ainsi, à chaque relève, au moins un policier la porte. Les policiers qui sont en possession de l’arme sont répartis sur l’ensemble du territoire pour répondre aux besoins. Si une situation nécessite l’utilisation de l’arme et qu’aucun policier ne la porte dans le secteur, un policier d’un autre district se déplacera.
Pendant les interventions, les policiers utilisent le modèle national de l’emploi de la force, qui est le modèle enseigné par l’École nationale de police du Québec. Si la personne interpellée est menacée que l’arme sera utilisée si elle n’obtempère pas, mais qu’elle décide finalement de collaborer, l’arme ne sera pas utilisée. La Régie ne détient pas de données sur le nombre de fois que la possibilité d’utiliser l’arme a été mentionnée lors d’une intervention.
L’objectif du service est de former davantage de policiers afin d’avoir trois policiers par relève, soit un par secteur, qui peuvent utiliser l’arme en cas de besoin. Pour l’instant, une douzaine de policiers sont formés pour l’utiliser et aucune acquisition supplémentaire de ce type de fusil n’est prévue.
22 mars 2019 - 13:34
Un an après l’acquisition du taser
Le « taser gun » n’a pas encore été utilisé
Un texte de Kathy Desrosiers
Plus d’un an après l’acquisition de cinq fusils de type « taser » en décembre 2017, les policiers de la Régie intermunicipale de police Richelieu–Saint-Laurent n’ont pas eu besoin de les utiliser.
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