5 avril 2023 - 07:00
C’est arrivé près de chez vous
L’émission jette un regard sur l’assassinat de Julie Morrison
Par: L'Oeil Régional
Louis Pelletier Photothèque | L’Œil Régional ©

Louis Pelletier Photothèque | L’Œil Régional ©

Depuis le 28 mars, la plateforme Vrai propose à ses abonnés de plonger dans de nouvelles histoires de meurtres qui ont marqué les communautés du Québec avec l’émission C’est arrivé près de chez vous.

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Dans le deuxième épisode, « Le mauvais gars, le gars mauvais », l’équipe de production s’intéresse à l’histoire de Julie Morrison, 39 ans, tuée par Louis Pelletier le 30 juin 2013. Le corps de Mme Morrison avait été retrouvé dans une voiture calcinée sur le chemin Ozias-Leduc, près d’Otterburn Park. Louis Pelletier, qui demeurait à l’époque à Marieville, avait été arrêté sur son lieu de travail à Abercorn, six mois après la macabre découverte. L’épisode raconte comment Mme Morrison est tombée amoureuse du mauvais gars, au lourd passé criminel.

La victime avait mis fin à sa relation de courte durée avec Louis Pelletier, quelque temps avant le crime. Selon plusieurs témoins, Pelletier était harcelant et menaçant. Mme Morrison en avait peur. Elle avait même gardé en garantie une bague de fiançailles que Pelletier lui avait donnée, car ce dernier lui devait 6000 $. La police avait même été appelée à intervenir au début de juin 2013.

Durant le procès, la preuve avait même révélé que l’accusé cherchait du combustible à briquet dans une station-service de Chambly aux petites heures du matin du crime et avait acheté de l’essence et un briquet. L’épisode explore la relation du couple et tend le micro à plusieurs amis et collègues de la victime. Le directeur de l’information de L’Œil Régional, Vincent Guilbault, qui a couvert les événements à l’époque, raconte les détails du crime à l’écran.

Le directeur de l’information Vincent Guilbault.
Photo gracieuseté VRAI.

Produite par Pixcom, en collaboration avec Québecor Contenu, cette série de huit épisodes d’une heure réalisés par Bernard Nadeau, dit plonger le téléspectateur « au cœur des villes et villages paisibles du Québec » où se déroulent parfois d’horribles drames.

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