Rappelons que c’est le Centre québécois du droit de l’environnement (CQDE) et trois citoyennes qui ont déposé le jeudi 18 janvier une demande d’injonction. Le CQDE estimait que « l’abattage d’arbres a été observé et que la destruction de milieux humides abritant des habitats d’espèces en situation précaire est imminente ».
De son côté, l’entreprise Northvolt s’était engagée à ne couper aucun arbre en attendant la décision de la Cour supérieure.
Le CQDE avait obtenu le soutien du cabinet d’avocates Lapointe Légale, qui représentait l’organisme devant la Cour supérieure dans ce dossier.
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