La lettre a été déplacée dans la caserne incendie, attenante à l’hôtel de ville, ce qui a évité l’évacuation des employés municipaux.
Le capitaine Francis Lepage, de la Régie intermunicipale de police Richelieu-Saint-Laurent, a souligné qu’aucun élément d’enquête n’avait été recueilli, puisque la lettre avait été manipulée par Postes Canada et qu’il n’y avait aucune adresse de retour. La lettre a donc été détruite vers 13h à l’aide d’eau de javel par l’Unité d’intervention pour les matières dangereuses de Saint-Hyacinthe. La police considère l’événement comme un acte isolé.