4 juin 2024 - 05:00
L’Œil sur le conseil
Mont-Saint-Hilaire en bref
Par: L'Oeil Régional

Le conseil municipal de Mont-Saint-Hilaire se réunissait en séance ordinaire le 6 mai. Voici quelques faits saillants.

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Retour du Grand Saut hilairemontais

La 10e édition du Grand Saut hilairemontais se tiendra au quai municipal le dimanche 18 août. En cas de pluie, l’activité sera reportée la semaine suivante, soit le 25 août.

Cette initiative permet exceptionnellement aux résidents de plonger dans la rivière Richelieu et découle de la semaine du Grand Splash, promue par la Fondation Rivières. Cette dernière, active depuis 20 ans, vise la préservation des rivières tout en assurant un accès à l’eau pour la population québécoise. L’an dernier, 110 personnes ont participé à l’événement, dont le maire Marc-André Guertin ainsi que deux jeunes qui avaient sauté plus de 90 fois.

Nouveau poste pour les permis

La Ville vient de créer un poste de chef d’équipe pour les permis et inspections au sein du service de l’aménagement du territoire et de l’environnement. La Municipalité devrait nommer le titulaire du poste prochainement. Cette décision a été saluée par l’ancien directeur de l’urbanisme de Mont-Saint-Hilaire Bernard Morel. « Ça va peut-être faciliter le travail de centraliser les décisions des inspecteurs au même endroit. »

Le maire Marc-André Guertin a renchéri sur les propos de M. Morel en affirmant qu’une telle décision aurait dû être prise « il y a fort longtemps ».

Subvention pour un milieu vert

La Ville de Mont-Saint-Hilaire effectuera auprès du ministère de l’Environnement, de la Lutte aux changements climatiques, de la Faune et des Parcs une demande de subvention dans le cadre du programme de restauration et de création de milieux humides et hydriques. Le milieu visé est un bassin de rétention situé près d’une station d’Hydro-Québec sur le chemin Ozias-Leduc. Selon la résolution adoptée à cette fin, la superficie de milieux humides couvre 4,3 % de la superficie du bassin versant de la rivière Richelieu, soit nettement en deçà des exigences minimales de 10 % énoncées « dans la littérature comme seuil favorisant une conservation adéquate des milieux naturels ».D.B.

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