Au programme: de nombreuses mesures pour le climat, mais aussi pour l’économie, les enjeux sociaux et la démocratie.
La chef désirait, avec ces quatre grands domaines, prouver que le PVC n’est pas qu’une organisation motivée par l’environnement, qu’elle est capable de gouverner et de représenter l’ensemble des Canadiens.
Elizabeth May a notamment promis de revenir à un niveau de taxation fédérale des grandes entreprises à 19% (alors qu’il est en ce moment de 15%), en s’attaquant à certains crédits d’impôt. Elle veut aussi travailler avec les provinces pour obtenir de meilleures redevances sur l’extraction de ressources et créer un fonds canadien des générations.
Le Parti vert s’engage aussi à créer un programme pancanadien d’assurance médicaments pour que les Canadiens sauvent 11 milliards $ chaque année. Les logements abordables, entre autres pour les aînés, et la hausse du salaire minimum à 15 $/l’heure seraient aussi à l’agenda des Verts.
Les Verts veulent aussi investir 6,4 milliards $ annuellement dans les infrastructures municipales.
Elizabeth May a l’intention d’abolir d’ici 2020 les droits de scolarité pour les étudiants de niveau postsecondaire et en formation professionnelle.
Côté environnement, le parti créerait un fonds d’un milliard $ annuellement pour subventionner les entrepreneurs canadiens qui désirent prendre un virage vert.