La demande de destitution de Mme Rivard à titre de présidente d’élection, déposée par le citoyen Denis Guénette, a été rejetée deux jours avant la tenue du scrutin.
Selon la décision, dont L’Œil Régional a obtenu copie, la tenue d’une fête faisant la promotion de la politique familiale moins d’un mois avant le jour du vote est à l’origine de la plainte. Deux jours avant la fête, le citoyen a contacté Mme Rivard pour lui demander si c’était légal d’organiser un tel événement en campagne électorale.
Lyne Rivard, en poste depuis juin 2017, a contacté le maire de l’époque, Michel Aubin, pour l’informer de la plainte du citoyen. Denis Guénette s’est notamment plaint à la CMQ de ce geste de la part de la directrice générale, estimant qu’elle contrevenait à son obligation de confidentialité. M. Guénette estimait aussi que dans un courriel transmis au maire, Mme Rivard avait porté un jugement de valeur à son égard.
La juge Sylvie Piérard a tranché que la preuve ne représente pas un motif sérieux de destitution.La demande de destitution de Mme Rivard à titre de présidente d’élection, déposée par le citoyen Denis Guénette, a été rejetée deux jours avant la tenue du scrutin.
Selon la décision, dont L’Œil Régional a obtenu copie, la tenue d’une fête faisant la promotion de la politique familiale moins d’un mois avant le jour du vote est à l’origine de la plainte. Deux jours avant la fête, le citoyen a contacté Mme Rivard pour lui demander si c’était légal d’organiser un tel événement en campagne électorale.
Lyne Rivard, en poste depuis juin 2017, a contacté le maire de l’époque, Michel Aubin, pour l’informer de la plainte du citoyen. Denis Guénette s’est notamment plaint à la CMQ de ce geste de la part de la directrice générale, estimant qu’elle contrevenait à son obligation de confidentialité. M. Guénette estimait aussi que dans un courriel transmis au maire, Mme Rivard avait porté un jugement de valeur à son égard.
La juge Sylvie Piérard a tranché que la preuve ne représente pas un motif sérieux de destitution.