« L’élaboration de notre plateforme a été un véritable travail d’équipe durant lequel tous les candidats ont rassemblé leurs idées tout en faisant valoir leurs expertises complémentaires. Le résultat est une plateforme solide qui fait écho à la fois aux besoins de la communauté et aux enjeux sociaux actuels, comme les changements climatiques et l’accès au logement abordable », explique la candidate à la mairie, Kim Méthot.
Sur le plan de l’environnement, Mme Méthot et son équipe promettent le développement immédiat du premier Plan climat de la Ville, accompagné d’un plan d’action concret pour assurer sa mise en œuvre et maximiser l’utilisation des subventions disponibles. Dans un même ordre d’idée, on propose l’adoption d’une politique de l’arbre pour atteindre une canopée de 30 % en zone urbanisée de même que d’évaluer la faisabilité de créer un innoparc agricole pour soutenir la relève agricole et l’autonomie alimentaire régionale.
Sur le plan de l’accès au logement, l’Alliance souhaite entre autres fixer une cible de 20 % de logements à but non lucratif et abordables et encourager la densification douce, notamment par le développement de logements accessoires détachés dans une logique de respect du cadre bâti.
En matière de finances, l’Alliance veut limiter pour les quatre prochaines années la hausse du compte de taxes en fonction de l’indice des prix à la consommation afin de respecter la capacité financière des citoyens. Pour accomplir cet objectif, elle ciblera une croissance annuelle de 1 % de la richesse foncière uniformisée (RFU) grâce à de nouvelles constructions ou rénovations résidentielles et commerciales. L’équipe veut aussi conséquemment créer un comité consultatif en développement économique et mettre à jour la politique municipale de gestion de la dette et des surplus.
Du côté des infrastructures, Kim Méthot veut poursuivre les efforts de son prédécesseur Yves Lessard pour améliorer la fluidité et la sécurité de la 116 et de ses intersections. Elle veut aussi améliorer les installations aux abords de la rivière Richelieu afin d’assurer une meilleure accessibilité des usagers au plan d’eau et à la rive.
Saint-Basile-le-Grand en mouvement veut aussi lancer dès 2026 l’élaboration de la prochaine planification stratégique, en y intégrant un comité de pilotage citoyen, et assurer une reddition de comptes annuelle.
La plateforme veut aussi bonifier l’offre de services en relançant l’initiative du budget participatif, en poursuivant l’acquisition de l’ancien champ de tir dans le but de développer un plateau récréotouristique et en créant le tout premier parc canin.








