La fondatrice de La Vie après le Oui a réuni 25 fournisseurs et conférenciers afin de monter la programmation de l’événement.
À l’instar de plusieurs secteurs d’activités, l’industrie du mariage a écopé des mesures sanitaires imposées au cours de la dernière année. Même si certaines personnes ont tout de même choisi de se marier, mais de façon intimiste cette année, Mme Bigras a bien sûr senti une baisse d’énergie chez ses clientes.
« La force de ce salon-là est, oui, de voir les différentes tendances, mais il sera enforci de différentes conférences basées sur des solutions. Ce salon sera aussi pour rassurer nos mariées. On veut leur donner un peu de frénésie, un peu d’excitation à reprendre l’aventure parce qu’elles continuent à se marier. On doit leur redonner les petites étoiles dans les yeux », affirme-t-elle.
Les conférences seront variées, poursuit-elle. En plus d’ateliers sur les décorations, la photographie et le style, des défilés de mode, des démonstrations de mixologie et de pyrotechnie seront présentés. Optimiste, Mme Bigras a vu l’opportunité de lancer ce salon afin d’offrir des solutions pour des mariages en temps de COVID.
« Ça va être intéressant. On va pouvoir parler aussi de la possibilité que ça soit aussi touchant et mémorable. C’étaient des plus petits mariages intimistes avec la famille très rapprochée. En fait, c’est comme prévoir la pluie dans l’organisation. On prévoit tout le temps un plan A, mais on prévoit aussi un plan B en cas de pluie. La COVID, ça va être un peu la même chose. On va le prévoir comme un cas de pluie. Quand tout est prévu, il n’y a plus de tracas. On dit mariage pluvieux, mariage heureux. Moi je dis mariage COVID, mariage solide », souligne l’organisatrice de mariage.
Les billets pour le salon virtuel sont disponibles sur le site internet www.conferences virtuellesmariage.com au coût de 30 $ pour une journée ou de 50 $ pour la fin de semaine. Les conférences seront aussi parsemées de différents tirages pour un total de 3000 $ en prix.
« Même si la mariée a déjà tous ses fournisseurs, elle aura peut-être d’autres idées, en écoutant les conférences, à donner à son propre photographe, par exemple. Ça peut juste être inspirant pour tout le monde. »
