14 septembre 2022 - 07:00
Simon Jolin-Barrette est la cible de voleurs et de vandales
Par: Denis Bélanger
Plusieurs pancartes électorales de Simon Jolin-Barrette comme celle-ci ont été volées.
Photo François Larivière | L’Œil Régional ©��

Plusieurs pancartes électorales de Simon Jolin-Barrette comme celle-ci ont été volées. Photo François Larivière | L’Œil Régional ©

Des pancartes électorales du député caquiste sortant de Borduas et ministre Simon Jolin-Barrette ont été volées et vandalisées dans les premiers jours de la campagne.

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L’équipe de M. Jolin-Barrette a rapporté le vol de huit pancartes, le 2 septembre, à la Régie intermunicipale de police Richelieu–Saint-Laurent (RIPRSL). De plus, une douzaine de pancartes ont été découpées et endommagées.

« Je condamne ces gestes qui vont complètement à l’encontre des valeurs démocratiques québécoises. La période électorale est l’occasion d’échanger et de débattre de nos idées, de nos ambitions pour le Québec et des améliorations que nous souhaitons apporter dans la vie de nos concitoyens. Et le tout doit se faire dans un climat respectueux et serein », lance Simon Jolin-Barrette.

De leur côté, la candidate péquiste Paule Laprise et le solidaire Benoît Landry n’ont pas constaté de vol de pancartes ni d’acte de vandalisme. Pour sa part, le candidat conservateur Jean-Félix Racicot a refusé tout simplement de répondre à la question du journaliste, estimant que ce n’était pas un enjeu important de la présente campagne. Notons qu’au moment des méfaits, aucune affiche du candidat libéral Éribert Charles n’avait été installée dans la circonscription de Borduas.

Peu d’événements

À l’échelle du Québec, le début de campagne électorale est marqué notamment par des actes de vandalisme et des menaces à l’endroit des candidats. Toutefois, la RIPRSL, qui couvre plusieurs circonscriptions, a relevé très peu d’incidents malheureux en lien avec la campagne jusqu’à maintenant. « Toute information et autres événements en lien avec les élections sont transmis à un agent qui fait le suivi. Il y a évidemment une vigie et un partage d’informations qui se fait en ce qui concerne les médias », ajoute le porte-parole de la Régie, Jean-Luc Tremblay. D.B.

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