La Ville a reçu quatre demandes, soit trois dans le Vieux-Belœil et une sur le boulevard Sir-Wilfrid-Laurier. Une seule demande n’a pas été acceptée, car le requérant a décidé de ne pas poursuivre sa demande en répondant aux commentaires de la Ville.
« Malgré le faible taux de réponse, cette mesure était nécessaire pour au moins permettre ce genre d’aménagement aux restaurateurs. Pour ceux qui en ont bénéficié, cette autorisation les a aidés à faciliter l’obtention des approbations auprès de la Régie des alcools », souligne la porte-parole de la Ville, Émélie Trinque.
Les restaurateurs pouvaient empiéter sur les espaces gazonnés et leur stationnement hors rue ou sur l’emprise publique comme les trottoirs et les cases de stationnement sur rue.
Dans une vision de relance économique, la Ville avait aussi annoncé une entente avec la paroisse Trinité-sur-Richelieu afin d’aménager un espace public sur le parvis de l’église Saint-Matthieu. Selon la Ville, l’espace a attiré beaucoup de visiteurs. Belœil a constaté un besoin de la population de profiter d’espaces publics, ajoute Mme Trinque.
La Ville prévoit poser d’autres actions visant à soutenir l’économie locale. « En raison du champ d’action de la Ville, les actions visent davantage les commerces et les restaurants. Nous sommes également en étroite collaboration avec les différents paliers [gouvernementaux] afin de créer un plan de relance régional dans lequel va s’inscrire la Ville de Belœil. »