:«Cette année, c’est notre objectif de mettre sur pied une activité de ce type-là qui pourrait mettre en valeur d’autres professionnels que ceux de la santé ou du sport», confirme la présidente de la CCIVR, Mélanie Godin.
Le Salon Week-end Santé était né en 2014 de l’initiative de revitaliser le boulevard Laurier; une initiative menée conjointement par la Chambre de Commerce et d’Industrie de la Vallée-du-Richelieu (CCIVR) et les municipalités de McMasterville, Belœil et Mont-Saint-Hilaire. L’événement, qui sera de retour pour une troisième année, a attiré pas moins de 5000 visiteurs l’an dernier.
Mélanie Godin ne connaît pas encore la forme que pourrait prendre cette activité ni quels secteurs d’activités elle pourrait cibler. La CCIVR avait déjà lancé l’idée d’un salon de l’habitation à l’automne.
Un site à revoir
Dans le cadre de son projet de revitalisation du boulevard Laurier, la Chambre de commerce avait également créé une plate-forme web spécialement dédiée à la promotion du boulevard Laurier. Baptisée Mon Boulevard laurier, la page devait contenir un répertoire des commerces disponibles et y traiter des nouvelles et activités sur cette artère commerciale.
La CCIVR avait mis la plate-forme en place pour que les entrepreneurs se l’approprient. Mme Godin reconnaît que la plate-forme pourrait être plus dynamique, la dernière publication datant d’il y a un an. «On a tellement d’outils que ç’a été difficile de rajouter cet outil de communication et de le vendre auprès des entreprises. Cela dit, elle est toujours là.»
La CCIVR souhaite toutefois réfléchir l’an prochain à la manière dont elle pourrait transformer ou utiliser la plate-forme pour la rendre plus intéressante.
Pas d’oriflammes à Mont-Saint-Hilaire
@R:La campagne amorcée en 2014 contenait également un aspect visuel puisque les trois Villes partenaires devaient installer des oriflammes le long de la 116. McMasterville et Belœil ont installé les ornements au cours des dernières années; la Ville de Mont-Saint-Hilaire a finalement décidé de ne pas emboîter le pas.
Après une réévaluation des coûts, le projet «n’était plus d’actualité» selon le porte-parole Pierre Tadros, puisqu’il s’avérait plus dispendieux que prévu. M. Tadros a cependant refusé de dire combien le projet aurait pu coûter.
«Les oriflammes, c’était un outil. Mais derrière ça, l’idée, c’était de promouvoir l’achat local dans nos trois principales villes de la Vallée-du-Richelieu. Il n’y aura pas d’impact plus que ça et c’est pour ça que Mont-Saint-Hilaire n’embarque pas. Il y a d’autres moyens de communications ou de marketing qu’on peut utiliser pour mettre en valeur nos commerces et services locaux», fait pour sa part valoir Mélanie Godin:«Cette année, c’est notre objectif de mettre sur pied une activité de ce type-là qui pourrait mettre en valeur d’autres professionnels que ceux de la santé ou du sport», confirme la présidente de la CCIVR, Mélanie Godin.
Le Salon Week-end Santé était né en 2014 de l’initiative de revitaliser le boulevard Laurier; une initiative menée conjointement par la Chambre de Commerce et d’Industrie de la Vallée-du-Richelieu (CCIVR) et les municipalités de McMasterville, Belœil et Mont-Saint-Hilaire. L’événement, qui sera de retour pour une troisième année, a attiré pas moins de 5000 visiteurs l’an dernier.
Mélanie Godin ne connaît pas encore la forme que pourrait prendre cette activité ni quels secteurs d’activités elle pourrait cibler. La CCIVR avait déjà lancé l’idée d’un salon de l’habitation à l’automne.
Un site à revoir
Dans le cadre de son projet de revitalisation du boulevard Laurier, la Chambre de commerce avait également créé une plate-forme web spécialement dédiée à la promotion du boulevard Laurier. Baptisée <@RI>Mon Boulevard laurier<@$p>, la page devait contenir un répertoire des commerces disponibles et y traiter des nouvelles et activités sur cette artère commerciale.
La CCIVR avait mis la plate-forme en place pour que les entrepreneurs se l’approprient. Mme Godin reconnaît que la plate-forme pourrait être plus dynamique, la dernière publication datant d’il y a un an. «On a tellement d’outils que ç’a été difficile de rajouter cet outil de communication et de le vendre auprès des entreprises. Cela dit, elle est toujours là.»
La CCIVR souhaite toutefois réfléchir l’an prochain à la manière dont elle pourrait transformer ou utiliser la plate-forme pour la rendre plus intéressante.
Pas d’oriflammes à Mont-Saint-Hilaire
La campagne amorcée en 2014 contenait également un aspect visuel puisque les trois Villes partenaires devaient installer des oriflammes le long de la 116. McMasterville et Belœil ont installé les ornements au cours des dernières années; la Ville de Mont-Saint-Hilaire a finalement décidé de ne pas emboîter le pas.
Après une réévaluation des coûts, le projet «n’était plus d’actualité» selon le porte-parole Pierre Tadros, puisqu’il s’avérait plus dispendieux que prévu. M. Tadros a cependant refusé de dire combien le projet aurait pu coûter.
«Les oriflammes, c’était un outil. Mais derrière ça, l’idée, c’était de promouvoir l’achat local dans nos trois principales villes de la Vallée-du-Richelieu. Il n’y aura pas d’impact plus que ça et c’est pour ça que Mont-Saint-Hilaire n’embarque pas. Il y a d’autres moyens de communications ou de marketing qu’on peut utiliser pour mettre en valeur nos commerces et services locaux», fait pour sa part valoir Mélanie Godin