Elle a été initiée au sauvetage à l’âge de 15 ans et n’a jamais lâché depuis. Elle a même été travaillée aux États-Unis pendant quelques années comme sauveteuse. «Je trouve que c’est un sport tellement complet. Il faut être bon dans tout si on veut être sélectionné pour les championnats du monde, souligne la jeune femme de 24 ans. C’est ma passion pour l’océan et les vagues qui me fait aimer ce sport. Ma vie est occupée par ça, je travaille un peu, mais je m’entraîne énormément.»
Les cases libres à l’agenda de Courteau-Godmaire doivent être effectivement peu nombreuses. Membre du Rouville Surf Club , la sauveteuse occupe plusieurs rôles au sein de son équipe. «En tant qu’athlète, je veux bien performer. Mais en tant que responsable du club, je veux aussi le faire rayonner et promouvoir le sport.»
Le calendrier de compétition est assez garni. Courteau-Godmaire et ses coéquipiers seront en action la fin de semaine prochaine au Lac Simon à l’occasion des championnats québécois. Le 25 août en Nouvelle-Écosse, ce seront les championnats canadiens. Le Rouville Surf Club a remporté la couronne l’année dernière par une faible marge de points. Puis cet automne, Claudine Courteau-Godmaire fera partie de la délégation canadienne pour la tournée européenne 2017. Elle participera alors à la German Cup le 24 et 25 novembre en Allemagne et ensuite à la Orange Cup aux Pays-Bas le 2 et 3 décembre.
Compétition d’endurance
Claudine Courteau-Godmaire et ses coéquipiers du club reviennent d’ailleurs d’une compétition tenue le week-end dernier en Nouvelle-Écosse, le Canadian Lifeguard Challenge.
Les participants prenaient part au Ocean’s man, l’épreuve reine de la discipline qui mesure le degré d’endurance des athlètes et regroupe dans la même compétition course, natation, aquaplane et kayak. Courteau-Godmaire a terminé 6e sur huit compétitrices. Cinq autres sauveteurs du Rouville Surf Club y ont participé. Sandrine Hamel a terminé au deuxième rang, Marie-Helene Paquette troisième, Marie-Charlotte Hamel septième, Laurie Dépault huitième, et Didier Dupas, chez les hommes, troisième sur dix. nElle a été initiée au sauvetage à l’âge de 15 ans et n’a jamais lâché depuis. Elle a même été travaillée aux États-Unis pendant quelques années comme sauveteuse. «Je trouve que c’est un sport tellement complet. Il faut être bon dans tout si on veut être sélectionné pour les championnats du monde, souligne la jeune femme de 24 ans. C’est ma passion pour l’océan et les vagues qui me fait aimer ce sport. Ma vie est occupée par ça, je travaille un peu, mais je m’entraîne énormément.»
Les cases libres à l’agenda de Courteau-Godmaire doivent être effectivement peu nombreuses. Membre du Rouville Surf Club , la sauveteuse occupe plusieurs rôles au sein de son équipe. «En tant qu’athlète, je veux bien performer. Mais en tant que responsable du club, je veux aussi le faire rayonner et promouvoir le sport.»
Le calendrier de compétition est assez garni. Courteau-Godmaire et ses coéquipiers seront en action la fin de semaine prochaine au Lac Simon à l’occasion des championnats québécois. Le 25 août en Nouvelle-Écosse, ce seront les championnats canadiens. Le Rouville Surf Club a remporté la couronne l’année dernière par une faible marge de points. Puis cet automne, Claudine Courteau-Godmaire fera partie de la délégation canadienne pour la tournée européenne 2017. Elle participera alors à la German Cup le 24 et 25 novembre en Allemagne et ensuite à la Orange Cup aux Pays-Bas le 2 et 3 décembre.
Compétition d’endurance
Claudine Courteau-Godmaire et ses coéquipiers du club reviennent d’ailleurs d’une compétition tenue le week-end dernier en Nouvelle-Écosse, le Canadian Lifeguard Challenge.
Les participants prenaient part au Ocean’s man, l’épreuve reine de la discipline qui mesure le degré d’endurance des athlètes et regroupe dans la même compétition course, natation, aquaplane et kayak. Courteau-Godmaire a terminé 6e sur huit compétitrices. Cinq autres sauveteurs du Rouville Surf Club y ont participé. Sandrine Hamel a terminé au deuxième rang, Marie-Helene Paquette troisième, Marie-Charlotte Hamel septième, Laurie Dépault huitième, et Didier Dupas, chez les hommes, troisième sur dix.
11 août 2017 - 17:22
Une passionnée du sauvetage sportif
Originaire d’Otterburn Park, Claudine Courteau-Godmaire a la fonction de sauveteuse tatouée sur le cœur. Quand elle n’est pas chargée de veiller à la sécurité des baigneurs, elle repousse ses limites pendant des compétitions de sauvetage sportif.
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